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CATHMA
Compte rendu de la réunion du 17 février 1994
Présents : I. Bonhoure, M. Bonifay, S. Claude, F. Coeur-Mezzoud, G. Demians
dArchimbaud, G. et J.-B. Féraud, F. Gateau, N. Lecuyer, A. Nikolaides,
N. Nin, F. Paillard, J.-P. Pelletier, M.-Th. Pesty, D. Piéri, J. Piton,
J. Proust, P. Reynaud, C. Richarté, J. et Y. Rigoir, V. Rinalducci, L.
Rivet, S. Saulnier, M. Vecchione.
Excusés : M. Leenhardt, R. Boiron, L. Vallauri.
Une partie de ce matériel avait été présentée, en groupe restreint, lors de la préparation de la communication pour le Colloque de Sienne en 1983-84.
Léchantillonnage du matériel provient de deux fouilles menées dans des espaces attenants : la fouille du cloître de la cathédrale Saint-Sauveur et celle du baptistère.
Ces recherches ont mis au jour un ensemble monumental du Haut-Empire (forum, portiques latéraux, podium et façade dun grand monument public) sur lequel simplante, à lAntiquité tardive, les premiers bâtiments du groupe épiscopal cathédrale primitive, baptistère et annexes.
Deux phases archéologiques illustrent ce dernier projet
1 - Ponctuellement, sur le dallage de la place publique, des foyers et tas de déchets (huîtres et escargots en grand nombre), témoignent de frustes campements à mettre, vraisemblablement, en relation avec le grand programme de construction (couche 5 : occupation) :
sig. claire D (63 frag.) : H. 59, 67, 73 et un bord dans la lignée de la fon-ne H. 76, également connu à Arles (dans un puits du chantier de lIRPA dont le comblement est daté du milieu du V s.).
DS.P. (93 frag.) : f. 1, 3a, 6a, 6b, 9, 18, 30. La plupart des tessons sont attribuables au groupe dit de latelier de Saint-Julien-les Martigues, de style languedocien.
lampe : un frag. de type Il (qui napparaît pas avant 450 et est plutôt diffusé après 450). cér. commune à pâte grise : une for-me C.
amphore : aucun tesson significatif.
Datation : deuxième moitié du Ves. (claire D essentiellement de la première génération).
2 - Puis, à lemplacement du cloître et, surtout, du baptistère, un remblai (couche 4), destiné à surélever le niveau des sols, est rapporté. Ce remblai, homogène (abondants fragments de marbre, de mosaïque), très remanié par la suite, correspond à la mise en service du baptistère.
- Sig. claire D (55 frag.) : H. 59, 61, 87
- DS.P. (91 frag.) : f. 4, 6, 6a, 8, 18, 29, cruche. Comme précédemment, on note la présence de nombreux tessons attribuables au groupe dit de latelier de Saint-Julien-les Martigues
- cér. commune à pâte grise: formes A et B.
- amphore : aucun tesson significatif.
Datation : 475/500 (tesson de claire D à faciès plus tardif).
II. AIX-EN-PROVENCE, Cathédrale Saint-Sauveur, Sainte-Chapelle (présentation L. Rivet).
Cette fouille eut lieu en 1984. Après le dégagement des remblais qui comblaient tout le volume quoccupait la Sainte-Chapelle, intégralement détruite en 1808, ne subsistaient plus de celle-ci que les terres qui venaient se plaquer contre le parement extérieur de son abside. Ce dernier remblai ne contenait que du matériel de lAntiquité tardive : 16 frag. de DS.P., 128 frag. de cér. commune à pâte grise de lAntiquité tardive, 4 frag. de Luisante et quelques frag. dafricaine de cuisine ; on notera labsence totale de sigillée claire D mais la présence dun frag. dépaule cannelée damphore égéenne LRA 2 (pas avant le milieu du VI s.); ce dernier, plus particulièrement, interdit de situer lapport de ce remblai avant cette époque. Comme il est fréquent sur le site pour cette époque, ces terres contiennent des déchets culinaires marins (7 coquilles Saint-Jacques et 23 huîtres), ainsi que des centaines de coquilles descargots.
III. AIX-EN-PROVENCE, Cour de lArchevêché (présentation L. Rivet)
La cour de lArchevêché2 est situeé à proximité duforum, près de la cathédrale.
En 1984-85 ont été dégagées deux parties dinsula, et la voirie attenante qui subiront différentes transformations jusquau IIIe s. de n.è. Les bâtiments seront occupés, sans guère de modification, jusque dans le Moyen Age. Les traces doccupation concernant lAntiquité tardive sont très modestes et se réduisent à deux fosses, lune dans une des salles latérales de linsula (fosse 1), lautre dans lancien cardo oriental (fosse Il), ainsi quà une recharge sur le trottoir du cardo.
- Pour le comblement de la fosse I :
Sig. claire D : 6 frag. informes ou simplement décorés de motifs simples.
DS.P. : 53 frag. gris et orangé : f. 6, 8, 18a entre autres. A côté dune vaisselle du groupe provençal, provenant très probablement des ateliers marseillais, on notera dautres pièces plus caractéristiques de la production languedocienne (col
f. 18 guilloché et souligné de rainures, f. 6 décorée de palmettes). Cér. commune grise: formes A et B. - Pour le comblement de la fosse II Sig. claire D : un frag. informe.
DS.P. : 14 frag. informes (dont 1 correspondant à une forme fermée).
Amphore: uniquement des frag. résiduels.
- Pour la recharge sous le couvert du portique (cardo)
Sig. claire D : 1 bord de f. H. 73A.
DS.P. : 29 frag. gris et orangés : f. 4, 22, 29.
Un abondant mobilier résiduel a cependant été collecté dans les couches médiévales.
Petite bibliographie :
R. GUILD, J. GUYON. L RIVET, Recherches archéologiques dans le cloître Saint-Sauveur dAix-en-Provence: bilan de quatre campagnes de fouilles (1976-1979), dans Revue Archéologique de Narbonnaise, XIII, 1980, p. 115-164; R. GUILD, J. GUYON, L. RIVET, Origines du baptistère de la cathédrale Saint-Sauveur: étude de topographie aixoise, dans Revue Archéologique de Narbonnaise, XVI, 1983, p. 172-232.
R. GUILD,J.GUYON, L RIVET, M. VECCHIONE, Saint-SauveurdAix-en-Provence: la cathédrale et le baptistère,dans Société Française darchéologie (Bulletin Monumental), Congrès du Pays dAix, 1988, p. 17-64.
M. FIXOT, J. GUYON. J.-P. PELLETIER, L. RIVET, Les fouilles de la cour de lArchevêché (septembre 1984-janvier 1985), Documents darchéologie Aixoise, 1, Aix-en-Provence, 1985.
M. FIXOT, J. GUYON. J.-P. PELLETIER, L. RIVET, Des abords du fonun au palais archiépiscopal : étude du centre monumental dAix-en-Provence, dans Bulletin Monumental, 144-III, 1986, p. 195-290.
IV. AIX-EN-PROVENCE, Notre-Dame-de-la-Seds (présentation L. Rivet et J.-P. Pelletier).
En 1990, dans ce quartier mentionné villa de Turribus dès 1150, trois sondages de reconnaissance ont été ouverts, préalablement à un projet immobilier qui ne sest pas mis en place ; ces sondages ont montré lampleur des récupérations opérées dès le Moyen-Age et durant lépoque moderne.
Linterprétation des vestiges antiques (plusieurs massifs maçonnés, un espace dallé, un mur fait de blocs en grand appareil, etc.), qui appartiennent de toute évidence à une importante construction publique, nest pas facile.
Loccupation du site pendant lAntiquité tardive et le Haut Moyen-Age est attestée par lomniprésence, dans les terres les plus récentes, de mobilier céramique sans que toutefois il puisse être rattaché à des aménagements précis. Outre de la sig. claire D, des DS.P de production marseillaise (dont une f. 25).
V. AIX-EN-PROVENCE, parking Signoret (présentation L. Rivet)
La fouille de ce terrain, situé dans la partie nord-est de lagglomération romaine, a permis de mettre autour trois bâtiments dont deux abritaient des activités artisanales. Leur abandon semble devoir être placé vers la fin du IIIe s. ou le début du IVe s. On a constaté la récupération systématique des matériaux, phénomène extrêmement fréquent sur les chantiers aixois. Pour les murs, les spoliations atteignent souvent la racine des fondations.
Le mobilier de lAntiquité tardive provient essentiellement des comblements de ces tranchées de récupération (avec un frag. de forme 3c grise en DS.P.) et de deux fosses.
Léchantillonnage présenté provient de ces deux fosses.
Fosse g :3 frag. de claire D de forme H. 61A, une forme B en céramique commune grise (à demi complète) et un pot (complet) à deux anses en céramique commune engobée orangée.
Fosse j : un col damphore attribuable à la forme Keay LXI réputée pour ses variantes multiples qui induisent, sûrement, des décalages chronologiques.
Bibliographie :
L RIVET, Un quartier artisanal dépoque romaine à Aix-en-Provence, bilan de la fouille de sauvetage du Parking Signoret en 1991. dans Revue Archéologique de Narbonnaise, 25, 1992, p. 325-396.
VI. AIX-EN-PROVENCE, Les Thermes/deuxième tranche (présentation N. Nin.).
Le site est au coeur de la ville gallo-romaine, à 200 m à louest du forum. Un ensemble monumental, construit vers le milieu du Ier s. av. n.e. et occupé jusquà la fin de lAntiquité a été reconnu. Au nord-ouest, des habitats et, peut-être, le croisement de deux insulae ont été mis au jour. Le site a souffert des aménagements postérieurs, notamment par la construction de la courtine médiévale.
Pour lAntiquité tardive, quelques contextes faisant référence à des habitations et à des activités artisanales sont présentés.
- contexte 305 couche doccupation la plus ancienne.
- contexte 361 remblais scellant des sols et liés à des activités artisanales (fragments de creusets).
- contexte 106 et 1 10 : fosses.
- contexte 083 . sol qui scelle lensemble des contextes précédemment évoqués.
* On notera la rareté de la sigillée claire D. Présence de claire A tardive (IVe s.) dont on ne sait pas si elle continue au-delà (le travail reste à faire).
* La DS.P. est en nombre très supérieur par rapport à la Claire D. La DS.P. orangée, dans le style de Saint-Julien-lesMartigues est en proportion importante ; il y a peu de f. 18, plutôt des f. 6. Les poinçons sont répertoriés soit dans le ..groupe de Saint-Julien" ou au groupe saint-Sauveur; on observe quelques variantes mais rien qui naugmente le répertoire actuel des poinçons.
* La Luisante : quelques formes classiques dont les datations séchelonnent entre la fin du IIIC s. et le milieu du Ve s.
* Les amphores : les Gauloises 4 sont en très grand nombre et pourraient, de ce fait, ne pas être seulement résiduelles (le même phénomène a été remarqué à Arles, jusquà la fin du IV s., par J. Piton, ainsi quà Lunel-Viel jusquau milieu du IV s.). Quelques petits fragments épars de LRA 3 (contexte 36 1), variante précoce, datée du début du V s. et une amphore orientale de type inconnu.
* En ce qui concerne la céramique commune grise, elle est très peu représentée et semble plutôt appartenir au groupe des céramiques qui précède la véritable conunune grise. Dans le dernier contexte (083), on notera la présence dun élément de bord, variant A6 qui évoque le milieu du VI s. et quelques formes plus classiques du V s.
* Présence de quelques fragments de communes languedociennes (mortier), à pisolithes (fin IV-prerràère moitié du V s.)
Dune façon plus générale et excepté le contexte 083, le faciès est plutôt ancien : premier quart du V s.
CONCLUSIONS
Il était intéressant de faire une confrontation entre les différents sites aixois : fouilles déjà anciennes du cloître, du baptistère et de la Sainte-Chapelle de la cathédrale Saint-Sauveur, de lArchevêché et fouilles récentes de Notre-Dame-dela-Seds, du Parking Signoret et des Thermes.
Le matériel provenant de la fouille de Grassi (1957, J. Gourvest, Y. et J. Rigoir) na pas été retrouvé dans le dépôt de fouilles de Forbin.
Pour les DS.P., deux groupes peuvent être distingués :
- sur les sites de Grassi et de Notre-Dame-de-la-Seds, présence du groupe provençal et plus particulièrement des productions des ateliers marseillais (entre autres, la f. 25, connue seulement à Marseille, et dont le premier fragment trouvé hors Marseille la été à la Seds).
- sur tous les autres sites dAix-en-Provence (cloître et baptistère, Archevêché, Signoret et Thermes), les tessons sont le plutôt attribuables au groupe dit de latelier de Saint-Julien-les-Martigues (datation: première moitié Ve s.) sous influence languedocienne ; pour les Thermes, cest un pourcentage élevé puisquil sagit de 80 % de lensemble des fragments.
Éléments de bibliographie
Y. et J. RIGOIR, Eléments apportés à létude la céramique grise du Bas-Empire par les fouilles dAix-en-Provence, dans Actes du 83e Congrès National des Sociétés Savantes, Aix-en-Provence, 1958 (1960), p. 69-80.
J. GOURVEST, Y. et J. RIGOIR, La villa gallo-romaine du Jardin de Grassi à Aix, dans Lesfouilles en Provence, Arts et Livres de Provence, IV, 1957, p. 75-77.
N. NIN et B. DE LUCA, La voie aurélienne et ses abords, dans Documents dArchéologie Aixoise, 3, 1987, p. 58.
N. NIN, La voie aurélienne et ses abords à Aix-en-Provence, nouvelles données sur le paysage périurbain, dans Revue Archéologique de Narbonnaise, 20, 1987, p. 268.
R. GUERY, A propos de quelques fragments de plats rectangulaires en terre cuite découverts en Narbonnaise, dans Documents dArchéologie Méridionale, 13, 1990, p. 266-27 1.
Y. et J. RIGOIR, L. RIVET, avec la collaboration de J. PROUST, Les Dérivées-des-Sigillées Paléochrétiennes. Exportations et influences entre le groupe provençal et le groupe languedocien, dans Documents dArchéologie Méridionale, 8, 1985, p. 87-99.
Y. Rigoir a rassemblé quelques dessins de céramiques issus du DICOCER (feuille
ci-jointe).
COMPLÉMENT AU COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU 17 février 1994
AIX EN PROVENCE, Etablissement thermal (Nuria NIN)
Les recherches archéologiques conduites en 1993 sur le site de létablissement thermal dAix en Provence ont concerné la partie nord-ouest de la parcelle, sise à langle du bd Jean Jaurès et du cours Sextius.
Malgré les fractures qui laffectent -les fortifications médiévale et moderne le traversent de part en part et les thermes contemporains en ont profondément bouleversé la partie méridionale- le terrain, distant de 200 m à peine du forum, se caractérise avant tout par - la précocité de son occupation qui semble sétablir au moins vers les années 60 avant n.è. - le tracé de lurbanisme mis au jour, qui se lit presque exclusivement en négatif et dont lorganisation est suggérée par deux égouts qui pourraient témoigner de la présence dun cardo et dun decumanus.
- la permanence de cette trame urbaine qui perdure ici au moins jusquau Vle siècle de n.è. Loccupation relative à lantiquité tardive y apparaît en tout cas assez intense et laisse voir des espaces au volume et à lagencement intérieur modestes. Les sois en terre battue accueillent des aménagements simples et sont surtout percés dune multitude de fosses qui ont livré de nombreux fragments de creusets suggérant le développement à proximité, dactivités liées à la métallurgie du bronze.
Le mobilier présenté ici est issu dun espace parfaitement défini dont la stratigraphie laisse voir au-dessus dun sol parfaitement identifié (US 315) la mise en place de fosses et de remblais liés à des activités artisanales ([FO 247], US 305 et 361, [FO 106] /318-320-324 et [FO 1 1 O]/US 294-295-302).
Lensemble est scellé par un nouveau remblai (US 361).
Les céramiques DSP : Le faciès de la DSP qui est ici présente en proportion importante, apparaît très proche du groupe de Saint Julien, avec en particulier un nombre élevé de DSP orangé et la nette prédominance des formes 6 propres au Languedoc sur les formes 18 plus typiques à la Provence. Les poinçons relèvent de la même facon du répertoire du groupe de Saint Julien et du groupe de Saint Sauveur avec quelques variantes.
Les productions marseillaises sont ici totalement absentes alors quelles sont attestées à Aix sur le site de Notre Dame de la Seds. Ce fait pourrait ne pas indiquer seulement des différences dans lapprovisionnement des ateliers mais résulter de décalages chronologiques. On constate en effet que le site de la Seds où loccupation apparaît un peu plus tardive a livré un élémet de forme 25 typique des ateliers de Marseille.
La sigillée claire D : Elle est rare.
La sigillée claire A : La sigillée claire A tardive, présente en très petit nombre, pourrait être issue dun lot ancien. A noter la présence de quelques céramiques africaines à mi-chemin entre la claire A et les céramiques culinaires, bien attestées dans des contextes du milieu du IVe s. de n.è.
La sigillée claire B et luisante : On trouve dans cette catégorie des formes de luisantes tardives ou B tardives attestées en Arles en petit pourcentage dans des contextes de la fin du IVe s. de n.è.
Cette catégorie de céramique se caractérise par des formes très classiques, en particulier la forme 61, inscrites dans la fourchette chronologique fin Ille-milieu du Ve s. de n.è.
Les céramiques communes languedociennes : Proportion assez importante de céramiques communes languedociennes dites à pisolithes datées de la fin du IVe et de la première moitié du Ve s. de n.è.
La céramique commune grise : Elle est peu représentée sauf lors de la dernière séquence (US 83) où lon trouve quelques fragments de vraies grises datées de la fin du Ve s. de n.è. et surtout un élément de bord, antérieurs ne peut être véritablement classée dans le groupe des communes grises. Il sagirait là de production de grises archaïques présentant des caractéristiques très proches mais constituant en fait le balbutiement de la production des grises.
Les amphores : Elles sont très majoritairement représentées par les gauloises 4 auxquelles leur nombre
semble dénier un caractère résiduel. Se fondant sur la présence de ce mobilier en Arles dans des contextes également tardifs (fin du IVe s. de n.è.) Jean Piton suggère la possible continuation de cette production. A noter enfin la rareté des amphores orientales, représentées ici par quelques fragments de LRA 3 datés du début du Ve s. de n.è. et un fragment damphore orientale indéterminé.
Conclusion
La fourchette chronologique fournie par cet ensemble qui correspond à la phase doccupation la plus importante de lantiquité tardive sur le site, ne semble pas pouvoir excéder le premier quart du Ve s. de n.è. avec cependant un prolongement au moins dans le courant du Vle s. de n.è.
Par ailleurs la présence en quantité trop importante pour être résiduelle de certains types de céramique (sigillée claire A tardive, amphore gauloise 4 en particulier) vient enrichir le dossier portant sur la phase dabandon de leur production et de leur commercialisation qui semblerait pouvoir être repoussée au moins à la fin du IVe s de n.è.